Muzika

Merci Jean-Claude! J'adore cette chanson, c'est une adaptation d'un poème de Rosalia de Castro, en galicien. Je crois même que c'est une chanson dès le départ et même qu'une fois Julio Iglesias, que est Galicien lui aussi, s'était lancé à l'interpréter MAIS MAIS MAIS ne nous éloignons pas de Marc Ogeret.
Je connais sa version française, et je me rappelle que sur le même disque il y a une chanson (de Luc Bérimont?) dont le titre est LA CINQUANTAINE.

J'ai rencontré la cinquantaine
Sans bien savoir comment la prendre
Elle avait mis du temps à me prendre
Je me trouvais sous les troënes
Aux fleurs belles comme l'été
Mon tour de rôle était passé
Rien ne pouvait plus m'arriver
La planche est pourrie sous nos pieds…

Voilà, ensuite je me rappelle des bribes par-ci, par là.

Tu ne la connaîtrais pas, par un hasard formidable?



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

trouvé "en cinquantaine" de Jean Vasca
et "la cinquantaine" par Reggiani… et c'est tout



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El hambre viene,
El hombre se va...

Voui darlingue, je sais, ça fait des siècles que je suis en quête, si si.
… mais comme c'était sur le même 33t de Marc Ogeret que Jean-Claude a peut-être, un espoir luit dans la nuit, ou alors, vu la canicule & cie, est-ce un mirage au milieu du désert?

Booon.

En attendant, Jean-Claude, il ne faut pas trop trop me brancher sur le sujet Galice, je risque de me lancer dans une saga familiale à n'en + finir [qui est hyper passionnante mais enfin bref]
Disons que le couplet :

Je pars ce soir, tu pars demain
Souviens-toi de nous Galice
À tant creuser ta silice,
On ne voyait plus de pain.

explique un peu ma présence sur cette terre de France via Buenos Aires - eh oui, comment faire ce rencontrer un fils de Galicien de galice avec une fille de Galiciens (Galizer) de Galicie. Qui m'aime me suive.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

tu écoutes Carlos Nuñez toi ?



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El hambre viene,
El hombre se va...

PAS TOUS LES JOURS mais il est beau gosse, quand même.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

ça…. il est typé



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El hambre viene,
El hombre se va...

C'est marrant, parce qu'il joue de la gaita, ok, mais la boina, il la porte un peu à la Che Guevara



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Je n'ai pas la cinquantaine et j'ai la cinquantaine.
La chanson je ne l'ai pas car celles que j'ai c'est pour avoir emprunté des disques et les avoir enregistrées sur cassettes. Cela explique que je me trompe dans les titres ; car c'est bien plus tard que j'ai retranscrit les paroles.

Mais j'ai la cinquantaine et ma version en est très peu poétique :
j'ai du bidon et je me sens bidon.

Pour la Galice je n'y suis jamais allé, car je voyage très peu.

La chanson et l'interprétation d'Ogeret sont bouleversantes ; souvent je me la chante dans ma voiture en allant au collège le matin. J'ai le droit, personne ne m'entend. Et donc pour cette chanson d'exil, comme disait Cendrars :
Quand tu aimes il faut partir

J'accepte ta cinquantaine-bidon, Jean-Claude, et je suis contente quand nos posts se croisent.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.