Muzika

très vieux souvenirs,ma mère recherche depuis très longtemps une chanson dont il lui reste quelques paroles dans la tête,les voici: M'sieur le president puisqu'on me coupera la tête,je n'ai rien dit mais je vais le faire à present quand j'étais p'tit j'avais pas mauvaise tête……………..à m'sieur Debler vous ferez mes amitiés. merci à ceux qui pourront m'aider!!!!!

n'est ce pas de Bruant ce truc là ???
peut etre aller chercher sur un site consacré au poète

Bruant? Ce n'est pas À la Roquette…

Pour nous orienter, il faudrait pouvoir savoir qui était "M'sieur Debler", inconnu du Robert…
Ça situerait l'époque + sûrement.

Sinon, je pensais à Francis Blanche, mais absolument pas certaine.

Je vais appeler à la rescousse.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Debler c'était la dynastie des bourreaux 2nysetta
mais je viens de voir sur gogol que ça s'écrit Deibler…
et donc, le plus connu des Deibler (anatole) sévit de 1890 à 1939, ça peut situer la chanson, peut-être.



Message édité (10/10 16:19)

Et juste pour notre minute culturelle, denyse, regarde ce couplet de Berthe Sylva (Du Gris) :
Tu fumes pas, ben t'en as de la chance,
C'est que la vie, pour toi, c'est du velours,
Le tabac, c'est le beau de la souffrance,
Quand on fume, le fardeau est moins lourd.
Y a l'alcool, me parle pas de cette bavarde,
Qui vous met la tête à l'envers,
La rouquine qu'était une pocharde,
À vendu son homme à Deibler.

t'en a parlé à Martin Penet nyse2 ?



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le bonheur c'est d'en donner

OK, je regarde de + près.

(c'est kool, kermerce, j'allions te chercher et hop! … t'es déjà là!!!)



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

ardue, la recherche hein ?! j'ai rien trouvé

elle surgit parfois au coin du bois
au moment où on ne l'attend pas





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le bonheur c'est d'en donner

Qui ? Moi ?

Je viens d'éplucher Martin Penet 1890-1919, rien…



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

juste en passant une chanson où l'on cite Deibler

Renaud (1981)
DU GRIS
Paroles: E. Dumont, musique: F.L. Benech

Hep! Monsieur, une cigarette!
Une cibiche, ça n'engage à rien,
Si je te plais, on fera la causette,
T'es gentil, t'a l'air d'un bon chien.

Tu serais moche, ça serait la même chose,
Je te dirais quand même que t'es beau,
Pour avoir, t'en devines bien la cause,
Ce que je te de mande, une pipe, un mégot.

Ah, non! Pas l'anglaise, ni le bout doré,
Ces tabacs-là c'est du chiqué.

Du gris, que l'on prend dans ses doigts
Et qu'on roule
C'est fort, c'est acre, comme du bois,
Ça vous soûle.
C'est bon et ça vous laisse un goût
Presque louche
De sang, d'amour et de dégoût,
Dans la bouche.

Tu fumes pas, ben t'en a de la chance,
C'est que la vie, pour toi, c'est du velours,
Le tabac, c'est le beau de la souffrance,
Quand on fume, le fardeau est moins lourd.

Y'a l'alcool, me parle pas de cette bavarde,
Qui vous met la tête à l'envers,
La rouquine qu'était une pocharde,
À vendu son homme à Deibler.

C'est ma morphine, c'est ma coco,
Quoi? C'est mon vice à moi le perlo.

Du gris, que l'on prend dans ses doigts
Et qu'on roule
C'est fort, c'est acre, comme du bois,
Ça vous soûle.
C'est bon et ça vous laisse un goût
Presque louche
De sang, d'amour et de dégoût,
Dans la bouche.

Monsieur le docteur, c'est grave ma blessure?
Oui je comprends, y a plus d'espoir,
Le coupable, j'en sais rien je vous le jure,
C'est la rue, le métier, le trottoir.

Le coupable, au fait, je vais vous le dire,
C'est les femmes avec leur amour,
C'est le coeur qui se laisse séduire,
La misère qui dure nuit et jour.

Ah, et puis je m'en fous, te nez, donnez-moi,
Avant de mourir, une dernière fois,

Du gris, que dans mes pauvres doigts
Je roule
C'est bon, c'est fort, ça monte en moi,
Ça me soûle.
Je sens que mon âme s'en ira,
Moins farouche
Dans la fumée qui sortira
De ma bouche.




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le bonheur c'est d'en donner

chanson qu'il a piqué à Berthe Sylva et qui est sur le site



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le bonheur c'est d'en donner

Bah ! Houba pris en flag de "non lecture" de ma prose
je l'avais mis l'extrait

J'ai fait une recherche sur les chansons à thème "condamné à mort" et j'ai trouvé avec google sur un site de vente de disque, cet ovni (ovni pour moi) :
Le Condamné à mort (Genet dit par Mouloudji) année 196?. poème : Genet, musique : A. Almuro
je vous mets le lien pour infos sur le disque (?) : [www.rockdiscography.com]

Allez, les fous de fouille.. au travail !

Autre version, autre musique… toujours pas de paroles… :
<[www.friendship-first.com];

je t'ai lue merce , mais je n'ai pas pensé que renaud avait chanté berthe sylva (ner) ( à la tienne) - donc tout content de mettre un renaud avec deibler je n'ai pas plus vérifié

je l' frais plus



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le bonheur c'est d'en donner

[www.geocities.com]

là se trouvent le texte du condamné à mort de genet

mais c'est une autre génération de bourreaux



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le bonheur c'est d'en donner

Ah chouette! je vais enfin pouvoir le lire, merci Milord

Dis donc, c'est la nuit blanche des coupeurs de têtes!
Heu… si j'avais participé, j'aurais dit tout de suite "meuh non, c'est pas du Genet".
J'ai cherché sur la piste Bruant, mais il y a plein de chansons de Bruant qui ne sont plus publiées…
Dans À La Roquette, le couplet le + rapprochant :
L'Président n'aura pas voulu
Signer ma grâce,
Sans dout' que ça y'aura déplu
Que j'me la casse
Si l'on graciait à chaque coup
Ça s'rait trop chouette,
D'tenmps en temps faut qu'on coupe un cou,
À la Roquette.

Mais je suis persuadée que la maman de pascale se rappelerait que chaque couplet termine par la même phrase - c'est souvent, très très souvent le cas dans les chansons de Bruant.

Alors Bruant???



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.