Charmant…
dans le même registre, toujours Bruant en 1889, année d'entrée en fonction de Deibler père :
À présent, où qu'voudriez-vous qu'j'aille?
Vous vouderiez-ty que j'travaile?
J'pourrais pas… j'ai jamais appris…
Va falloir que j'vole ou que j'tue
Hardi! Joyeux, pas vu… pas pris…
Dans la rue.
Et puis zut! et viv'nt les aminches!
Viv'nt les escarp' et vivent les grinches!
Un jour faudra que j'passe aussi
D'vant la foule encore accourue
Pour voir ma gueule en raccourcis,
Dans la rue.
Et puis aussi, chez Montéhus (1908) - On est en République
Enfin, ça y est ! On est en République !
Tout marche bien, tout le monde est content !
Monsieur Deibler, avec sa mécanique
Nous coûte à peine soixante mille francs par an.
Ah s'il fallait qu'il coupe toutes les têtes
De tous les gens qui furent amant d'coeur
De Madame Steinheil, faudrait vingt lunettes
De toutes les couleurs !
Pascale, pour optimiser tes chances (et en pariant sur Bruant), va sur ces 2 sites, il est possible d'envoyer un mail :
[
www.udenap.org]
[
www.lechatnoir.free.fr]
J'espère qu'on pourra te renseigner mieux que nous!
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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.