Muzika

Je recherche le mp3, les paroles et toutes information au sujet de cette ancienne chanson que ma mère nous chatait il y a 40 ans !!!

[www.pixedit.be]

ciao
Ferenc

Devant les nombreuses demandes sur cette chanson ces jours-ci, je publie ici les paroles et vais demander à Thierry de les intégrer au site

Sur les bords de la Riviéra

Paroles : Marcel Bertal et Emile Ronn
Musique : Léo Daniderff
1913

Nice est en folie
C'est le soir du carnaval
Les femmes jolies
Au bras des galants
Se pressent vers le bar
Mais parmi les masques
passe un joli domino
Un Pierrot fantasque
lui soupire quelques mots
C'est si doux d'écouter tout ce qu'il dit
Que la dame aussitôt le suit

refrain
Sur les bords de la Riviéra
Où murmure une brise embaumée
Chaque femme a rêvé là-bas
D'être belle et toujours adorée
Dans le bleu jusqu'au firmament
Les violons jettent leur mélopée ;
Tous les mots sont plus doux, plus tendres les serments,
C'est l'amour qui vous berce en chantant
Tout bas..
Là-bas…
Près de la Riviéra

Puis au clair de lune
Le Pierrot parle d'amour
Si bien que la brune
Laissa retirer son masque de velours
Ah ! je vous adore
Fit-il, ce soir c'est permis !
Et jusqu'à l'aurore
Ce fut un vrai paradis
A demain, dit-elle en le quittant,
Ici même je vous attends

Refrain

Le Pierrot si tendre
ne vint jamais la revoir
Et lasse d'attendre
Elle dit : pourquoi ne m'aima-t-il qu'un soir ?
Ses douces paroles
Pour toujours ont pris mon coeur.
Ah ! Que j'étais folle
De croire à tant de bonheur !
Comme lui l'amour s'est déguisé,
C'est fini !… Le rêve s'est brisé

Sur les bords de la Riviéra
Où murmure une brise attristée
Chaque femme a rêvé là-bas
D'être belle et toujours adorée
Dans le bleu jusqu'au firmament
Les violons jettent leur mélopée ;
Tous les mots sont cruels et menteurs les serments,
C'est l'amour qui s'éloigne en pleurant
Tout bas..
Là-bas…
Près de la Riviéra

on peut l'écouter ici : [www.bnquebec.ca]

je demande aux possesseurs du Penet tome 1, d'indiquer les autres interprètes qu'Eva Gauthier…



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El hambre viene,
El hombre se va...

Version originale d'après Martin Pénet, p. 1360 :

Sur les bords de la Riviera

Paroles : Marcel Bertal et Emile Ronn
Musique : Léo Daniderff
Éd. : Daniderff / Hélian et Cie / MCA Music France
1913
Interprètes :
Michel Simon dans le film "Boudu sauvé des eaux", 1932
Marcelly et daniderff (1913), Bérard (1913), Resca (1913), Joanyd (1914), Ferravana (1919), Marjal (1930), Priolet (1932), Roberty (1936), Annette Lajon, Réda Caire (1957), Anny Flore (1957), André Claveau (1958), Aimé Doniat (1962), Georgette Plana (1967), Betty Mars (1974), Jack Lantier (1974)
Non cités par Pénet : Eva Guauthier (1918), Pierre-Aurèle Asselin & Guillaume Dupuis (1921)

Nice est en folie
C'est le soir du Carnaval :
Les femmes jolies
Au bras des galants se pressent vers le bal
Mais parmi les masques
passe un joli domino
Un Pierrot fantasque
Lui soupire quelques mots
C'est si doux d'écouter tout ce qu'il dit
Que la dame aussitôt le suit

refrain
Sur les bords de la Riviera
Où murmure une brise embaumée
Chaque femme a rêvé là-bas
D'être belle et toujours adorée
Dans le bleu jusqu'au firmament
Les violons jettent leur mélopée ;
Tous les mots sont plus doux, plus tendres les serments,
C'est l'amour qui vous berce en chantant
Tout bas..
Là-bas…
Près de la Riviera !

Puis au clair de lune
Le Pierrot parle d'amour
Si bien que la brune
Laissa retirer son masque de velours
Ah ! je vous adore
Fit-il, ce soir c'est permis !
Et jusqu'à l'aurore
Ce fut un vrai paradis
A demain, dit-elle en le quittant,
Ici même je vous attends !

Refrain

Le Pierrot si tendre
Ne vint jamais la revoir
Et lasse d'attendre
Elle dit : pourquoi ne m'aima-t-il qu'un soir ?
Ses douces paroles
Pour toujours ont pris mon cœur.
Ah ! Que j'étais folle
De croire à tant de bonheur !
Comme lui l'amour s'est déguisé,
C'est fini !… Le rêve s'est brisé

Refrain
Sur les bords de la Riviéra
Où murmure une brise attristée
Chaque femme a rêvé là-bas
D'être belle et toujours adorée.
Dans le bleu jusqu'au firmament
Les violons jettent leur mélopée ;
Tous les mots sont cruels et menteurs les serments,
C'est l'amour qui s'éloigne en pleurant
Tout bas…
Là-bas…
Adieu la Riviera !



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

ah ben la transcription, j'l'avais commencée à partir du lien que j'ai mis…

désolé pour ceux à qui j'ai transmis une version (très peu) erronée… et merci de t'être donné la peine de tout copier



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El hambre viene,
El hombre se va...

Tout le merite te revient, kérido. J'ai juste eu à relire et à comparer.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

bah oui mais t'aurais pu ne noter que les différences…



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El hambre viene,
El hombre se va...

c'eussété légèrement debilum, voire ***, spa? la fonction copié-collé lest pas faite que pour les chiens. Tiens, en me relisant jvois j'ai oublié une majuscule, méditons tout ça.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

c' était numéro 1 au hit parade de ma grand mère Palmyre ça



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le bonheur c'est d'en donner