Cela dit, leur version donne çà, une fois rectifiée 32 :
C'était un jeune marin
Qui revenait de guerre
C'était un jeune marin
Qui revenait de guerre
Avec son régiment
Pour aller voir Adèle
Adèle Adèle Adèle
Adèle sa bien aimée
Le jeune marin passait
Voyant son capitaine
Salut capitaine
Me donnez-vous congé
Pour aller voir Adèle
Adèle ma bien aimée ?
Adèle Adèle Adèle
Adèle ma bien aimée
Le capitaine lui dit :
Prends ta culotte blanche
Et ta ceinture dorée
Pour aller voir Adèle
Adèle ta bien aimée
Le jeune marin passait
Par la famille d'Adèle
Salut père et mère
Ainsi que frère et soeur
Ont oublié Adèle (pas très clair, çà)
Adèle Adèle Adèle
Adèle sa bien aimée
La mère a répondu
Les yeux pleins de larmes
Adèle Adèle Adèle
Adèle n'est plus ici
Son coeur est sous la terre
Et son âme au paradis
Le jeune marin passait
Par la tombe d'Adèle
Adèle Adèle Adèle
Adèle répond-moi
C'est un amour fidèle
Qui vient vers toi
Un ange a répondu
La bouche pleine de terre
Je garderai l'espoir
De te revoir un jour
Adèle Adèle ma bien aimée
Bon, même rectifiée 32, la fin est incompréhensible, et je suis encore moins sûr des paroles - z'ont bien bossé, au final, les scouts tunisiens !
(J'adore 'l'ange a répondu la bouche pleine de terre' !
)
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C'est aymer saynement d'entreprendre à blesser et offencer pour proffiter.
Montaigne (Essais).