Rappel:
Citation 2nyse :
peu importe l'époque savec une frépérence pour le XVIIe siècle.
Carravaggio plus qu'accepté (ma je sêche!)
je dis "romain", pour parler d'influence Baroque plutôt Italien Français ou Espagnol.
Je préfèrerais un sujet inscrit dans l'époque plutôt scène de genre que scène de la Bible ou de la mythologie.
En France le XVII siècle correspond à la fin du règne de Henri IV, Louis XIII (Richelieu et cie), et Louis XIV. (Le XVIII siècle est le "siècle des lumières").
Le XVIIe siècle français, bien que plus précocement attiré par la modération classique, n'est pas totalement imperméable au baroque. Le père Martellange contribue à répandre le style jésuite. Le style Louis XIII, marqué par une accumulation d'éléments ornementaux, mêle les goûts italien et flamand. Marie de Médicis, veuve de Henri IV, commande portraits et tableaux allégoriques à Rubens, tandis que Louis XIII confie la charge de premier peintre à Simon Vouet, très marqué par le caravagisme après un long séjour à Rome, et qui anime un atelier fréquenté par Le Brun et Le Sueur.
Ces derniers participent, sous le règne de Louis XIV, à la décoration du palais de Versailles (1669-1703), dont le classicisme majestueux, soucieux de traduire la grandeur et l'éclat du pouvoir royal, n'est pas exempt d'influences baroques. Pour le parc de Versailles, Pierre Puget, élève de l'Italien Pierre de Cortone, sculpte Milon de Crotone et Persée délivrant Andromède, groupes animés d'une tension pathétique.
En province, des écoles régionales ornent les églises de retables abondamment – et parfois assez naïvement – décorés de colonnes et de statues de saints.
En Italie, on est en plein dans l'art Baroque:
Les multiples ordres religieux font construire ou embellir quantité d'églises ou de couvents, et les prélats aménagent de riches demeures. Le Gesù, principale église des Jésuites élevée à partir de 1568 par Vignole, allie sobriété des lignes et faste de la décoration. Il sert de modèle très libre aux architectes, qui conservent souvent son fronton triangulaire en l'agrémentant tantôt de volutes, tantôt de colonnes. Le premier à incurver les façades est l'architecte Pierre de Cortone. Egalement peintre, il est le maître des plafonds en trompe-l'œil, comme dans le Triomphe de la Divine Providence (1636-1639) du palais Barberini.
Entre 1600 et 1680, architectes, sculpteurs et peintres répondent à de très nombreuses commandes, tant religieuses que profanes. Parmi les plus novateurs, le Bolonais Annibal Carrache peint notamment les plafonds de la Grande Galerie du palais Farnèse. Cependant le Caravage, qui recherche une «peinture naturelle», voit ses contrastes entre ombre et lumière repris par tout un courant – le caravagisme –, qui se répand bien au-delà des frontières italiennes.
En Espagne au XVII siècle ??? je sèche
J'espère que je ne vous aie pas trop barbé.
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Votre Dada la do ré...e Temps trop beau en août annonce hiver en courroux.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/02/08 08:00