Muzika

Souffrance, c'est certain. Handicap… "mental", disons névrose, d'où, branchée analyse comme je le suis, donc je dirais, qui trouve son origine dans le vécu, ds l'acquis.
J'imagine que toute culture peut produire des homes ou des femmes qui vivent mal leur identité et en souffrent.

Au fait, L'année des 13 lunes de Fassbinder raconte une histoire comme celle sur laquelle tu conclues: le héros est amoureux d'un homme qui lui dit qu'il ne voudra jamais de lui, puisqu'il est un homme. Il part se faire opérer au Maroc, et quand il revient, le type qu'il aime le jette en disant que de toute façon qu'elle qu'il-elle soit, il ne l'aime pas.
D'où ça finit mal, très très mal, puisque un homme qui aime un autre homme ne fait pas une femme.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

C de quelle année, ce film ? ça m'intéresse

J'pensais + à un handicap physique que mental en fait.
Je serais incapable de te dire si ça a son origine dans le vécu ou pas, j'aurais tendance à le penser également, à vrai dire, je ne crois pas trop que chaque personne ait déjà un caractère qui lui est propre à la naissance…
Mais toujours est-il que tous disent avoir ressenti assez tôt (avant leurs 10 ans dans tous les cas) que le sexe qui leur avait été attribué n'était pas celui qui correspondait à leur identité sexuelle.



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J'sais plus depuis combien d'temps j'tiens
Mais là bientôt, j'serais plus capable
J'ai bien aimé jouer l'ange gardien
Essayer d'soigner c'qui t'accable
Mais j'connais pas toutes les réponses
Ceci dit tu m'demandes plus rien

1978.

réellement, même si qqu'un arrivait à le prouver, il me semble que c'est extrêmement dangereux de considérer que c'est la Nature qui fonde le genre et l'identité sexuelle;
De tte façon il y a en nous une part de masculin et une part de féminin - une femme seult féminine, un homme exclusivement masculin, sont des névrosés graves, vive le foot .



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Hèp hèp hèp ! c'est pas ça que j'disais (enfin j'suis plutôt du côté de merce…)
ce qui m'a choqué de prime abord c'est l'amalgame naturellement fait entre trans et star du porno : deux versions différentes de la perversion
amalgame qui n'est jamais remis en cause même lorsque le héros comprend la détresse du patient
Il y a un discours juste : les trans n'ont pas choisi, la pornographie n'est pas saine, mais qui continue à considérer les deux comme une maladie en quelque sorte.
Enfin quand je dis que la pornographie n'est pas saine, je pense personnellement que ça concerne l'industrie actuelle du porno, qui veut, comme montré dans le film, mettre toutes les filles sur le même moule et encourage la surenchère des pratiques… ce qui, sans doute, conduit les jeunes à brûler les étapes de leur apprentissage (cela aussi était suggéré)… Pour le côté moral, j'm'en fous… Mais j'me suis éloigné là

Mon propos était donc de dire que cette série semble absurde pour nous français…
Vous croyez franchement que beaucoup de jeunes de 17 ans aurait fermé la porte et tourné les talons après avoir vu sa copine dans cette position par chez nous ?



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El hambre viene,
El hombre se va...

attends, on a bien vu la même chose? sa copine était avec une autre fille, spa?

il m'a semblé que 2points de vue se juxtaposaient, celui que tu décris, et l'autre, libertin jusqu'au bout mais oui, qui ne différenciait pas la pornographie des transsexuels, "déviants".
En même temps, il me semble qu'avec Virgine Despentes, on peut assumer la pornographie, comme part entière de notre société pourrie phallocrate.
mais à l'évidence, les usiens sont dans une société à l'évidence plus machiste, quoiqu'on en pense, que les Franchouillards, même en comptant l'extrême monbeauf'.

J'avais déjà remarqué des écarts du genre ds Sex & the city --> une fixation sur le mariage, par exemple, improbable ches des femmes du même milieu social en France.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

vi vi on a bien vu… bon de mon temps on avait assez l'esprit à expérimenter des trucs…

Revenons au sujet, ce que tu dis est juste : une société à la fois plus machiste et plus puritaine
"les vices cachés font les vertus publiques" disait Joseph de Maistre



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El hambre viene,
El hombre se va...

chais pas, j'ai mis le départ du môme sur le compte de la jalousie, d'un dépit amoureux qui ne s'exprime pas en scène de ménage.
mais j'ai sans doute mal capté. Ce doit en effet être un truc genre traumatisant "en fait elle me préfère une fille" quoique, c'est traumatisant.
… et le côté je-vois-ce-que-tu-veux-dire, t'es certain qu'ado, si la fille avec qui tu sortais tu l'avais trouvée avec une fille et/ou un mec, tu te serais jeté dans la partouze? là, ch'uis pas certaine. En idée, oui, mais surprenant la scène, je suis vraiment pas certaine du tout du tout - ou bien dans Gottlieb, évidemment. Mais en vrai de vrai…



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Mais non je frime…
on est sentimental à c't'âge là
cela dit j'aurais peut être piqué une gueulante plutôt que fuit



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El hambre viene,
El hombre se va...

Eriqueuh >>

2nyse, malgré tout je suis assez d'accord avec ske tu dis



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J'sais plus depuis combien d'temps j'tiens
Mais là bientôt, j'serais plus capable
J'ai bien aimé jouer l'ange gardien
Essayer d'soigner c'qui t'accable
Mais j'connais pas toutes les réponses
Ceci dit tu m'demandes plus rien

Au fait, à propos de ce que tu disais, sur les sociétés où les hommes ont tous les privilèges, ça aboutit plutôt à des avortements et des assassinats de petites filles.
y'a un film indien qui sort, un film prospectif qui a l'air effrayant : Matrubhoomi: un monde sans femme, de Manish Jhâ



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Vivi, je sais pour les avortements et les meurtres courants de petites filles, et j'imaginais le cas où l'opération serait une alternative à ça… Malheureusement :S



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J'sais plus depuis combien d'temps j'tiens
Mais là bientôt, j'serais plus capable
J'ai bien aimé jouer l'ange gardien
Essayer d'soigner c'qui t'accable
Mais j'connais pas toutes les réponses
Ceci dit tu m'demandes plus rien

bipeuh >>> chutttttt

on disait quoi ? le puritanisme tout ça….
ah au fait … Vous voyez pas the Shield certainement. je résume : on a un flic qu'est gay, y va avec de petits délinquants mignons… bon OK
sauf qu'il culpabilise (il est chrétien), donc il s'inscrit à un groupe de paroles, pardon : de réorientation sexuelle…
il rencontre une fille, il lui fait la cour (pas mal de temps) et ils se fiancent… sa collègue le convainct de tout lui dire, il le fait… evidemment, elle le prend très mal. Mais bon elle revient rapidement, ses collègues masculins le voient avec elles et ils lui serrent la main.
Donc : pareil on a un discours au final plutôt tolérant… mais chacun à sa place quand meme



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El hambre viene,
El hombre se va...

Je me fais une réflexion, là, tout de go: en fait ce que nous voyons (nous=nous, interlocutrices-eurs de ce tropique) c'est la crême de la prod° Usienne.
parce qu'on pourrait se dire: ouimais chez nous, sta peine s'il y a un gay ds Avocats & associés.
ouimais, on compare pas avec la production téléfilm d'ARTE.
d'où: ils sont hachement plus puritains, machistes et coinços que les Français, à quelle que soit la strate de populésheun.
quoique.
enfin, c'est comme les Anglais ou même les Allemands, je pense que ça tient aussi au protestantisme, ça c'est une morale qui tient au corps! le judaïsme aussi, de fait. C l'ancien testamnt qui veut ça.
alors qu'on est bcoup plus laxiste en terre gallicano-laïque, publique et gratuite les 1ers dimanches du mois.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

ouais ouais
ça m'inspire encore des réfleKcheuns
si ça c'est la crème… faut pas demander le reste… cela dit j'connais pas la morale chez Navarro et Lescaut (j'la devine chez Moulin…)

2°) on pourrait dire que ces séries, les meilleures, font beaucoup de chemin et sont exemplaire pour le public étazunien, et leur montrant la voie pour sortir du carcan puritain de leur éducation WASP… si ce n'est que l'une fait l'apologie du paraître (et accessoirement de l'avoir… à moins que les deux ne soient liés) et la seconde reste dans l'apologie de la violence (au sens d'oeil pour oeil…), si on ajoute qu'Ally McBeal ne propose au mieux que la dérision ou la vie dans un rêve, ça laisse encore beaucoup de route à faire.

Après avoir tapé tout ça chez nous, j'vois bien qu'en série grand public on n'a rien de tout ça (hors téléfilm d'arte)

PS : y'a aussi une lesbienne dans PJ (ouééé )



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El hambre viene,
El hombre se va...

en même temps, y'a des trucs intéressants du côté de M6, peut-être la seule télé-télé non destiné à la ménagère de moins de 50 ou plus mais qui veut l'oublier.
Par ex. cette série : Ma terminale, du docu-fiction caméra (vidéo) à l'épaule - ça te foutait presque autant la gerbe qu'un film d'Assayas
qui était q même plus zosée que Madame la proviseur (même si depuis peu, madame la Proviseur, c'est Eva Darlan, ouiii!!!!!! c'est qui les gâtés? Mer-ci-ber-naaaaard! ahhh c'était l'bon temps, la télé de Topor.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Vous ne regardez plus?
Moi, si.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

moi pas… à l'heure où ça passe, j'préfère venir ici



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El hambre viene,
El hombre se va...

heu… ptant, ça fzait un bail qu'on t'y voyait pus, zici.
Certains disaient avoir vu passer un canrd bleu avec de la neige au-dessus, mais perso. je sais rien mais je dirai tout.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

donc bon



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El hambre viene,
El hombre se va...

une copine me l'a conseillé cette série, mais comme y'a qu'une télé avec la 6 à la maison, et qu'elle est toujours squattée par les parents, j'peux jamais la voir
hier soir, juste ils sont tous partis mais j'ai oublié, jsuis tombée sur la fin, où ils faisaient un lifting sur des cadavres, la vieille qui parlait m'a bien fait marrer , j'ai regretté d'avoir pas vu le début
Pi l'acteur qui joue dans Charmed, il est vraiment trop " "
Mais le nom de la série, il vient d'où? Pi elle est vieille c'te série? elle amrche bien à c'qu'il paraît …