Muzika

Bonjour

Je viens vous parler d'un film que j'ai vu aujourd'hui, que j'ai enregistré Lundi soir (je regardais TF1, hihi) et qui s'intitule "Beau masque".

C'est un film que j'ai beaucoup aimé, et qui conte une lutte de classes avec une histoire d'amour qui se révèle très importante dans le scénario.

Je ne vais pas vous raconter la fin du film même si on connaît le sort du gars au début du film, et après tout le film est un flashback.

Ce film démontre, quand même, la difficulté de concilier vie de lutte, et vie personnelle, mais avec des tas d'heure par jour à bosser, il est difficile de concilier aussi ces deux-là.

Je ne vais pas vous raconter le reste au cas où ça repasserait je ne sais quand.

Vous avez regardé ? Qu'est-ce que z'en dîtes ?



Message édité (18/01 16:36)

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Kronenbourg à la Poste = Chronopost à la bourre

J'ai regardé et j'ai bien aimé.
Histoires de coeur sur fond de lutte sociale.

L'héroïne du film milite énormément pour le parti, quitte à délaisser sa vie amoureuse.

Dans le film, on voit bien le pouvoir des gens à haut statut et leur manière de penser.

Deux phrases m'ont interpellées durant le film :
- "un communiste n'a pas de vie privée"
- "je fais mon autocritique"



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Mais la nuit, dans mes rêves, on m'appelle : mon p'tit lu, ma colombe, mon jésus, mon loukoum ou ma fève.

mat, ces deux phrases sont historiquement juste
c'est ce qu'on appelle le stalinisme…



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El hambre viene,
El hombre se va...

Pour "Un communiste n'a pas de privée", je pense que ça signifie qu'un communiste lutte tellement intensément qu'il se trouve que la vie privée n'a pas beaucoup de place, et cela s'est démontré dans le téléfilm ! Peut-être est une constation, et non une directive ?



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Kronenbourg à la Poste = Chronopost à la bourre

Ca veut surtout dire qu'être communiste, c'est avant tout lutter contre l'individualisme, l'égoïsme qui nous étreint à tout moment de notre vie - normalement pour se mettre au service de la communauté - l'altruisme à son dernier degré.

Belle utopie, à la vérité.

Reste à la mettre réellement en pratique.
Qui commence ?



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C'est aymer saynement d'entreprendre à blesser et offencer pour proffiter.
Montaigne (Essais).

mat, ces deux phrases sont historiquement juste
c'est ce qu'on appelle le stalinisme…
Je sais. Mais ça m'interpelle malgré tout.

Peut-être est une constation, et non une directive ?
Dans le film, je l'ai perçu comme une directive.

Belle utopie, à la vérité.
Parce que extrême.



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Mais la nuit, dans mes rêves, on m'appelle : mon p'tit lu, ma colombe, mon jésus, mon loukoum ou ma fève.

Moi j'commence, si on me dit c'est où quand et comment qu'on commence



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In darkness together we're bringing the light
In darkness together we ignite

Before I'd lay me down to rest, I'd throw away everything to live. So live.

"Qui commence ? "

jvoulais dire Marina donc j'ai juste

Sérieux on me dit comment on s'y prend, et moi j'y vais !!



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In darkness together we're bringing the light
In darkness together we ignite

Before I'd lay me down to rest, I'd throw away everything to live. So live.

Je ne pense pas qu'il y ait de recette pour cela.
Il me semble que ça se fait d'abord en soi, au feeling, dans une sorte d'élan…

Chuis juste pas sûr que tout le monde soit capable de le vwar…



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C'est aymer saynement d'entreprendre à blesser et offencer pour proffiter.
Montaigne (Essais).

Ah, le "drôle de coco". C'était assez marrant, cette juxtaposition des souvenirs de Peter Kasso et Roger Vailland, avec les autocritiques, on se serait dit dans lauzier, presque. marrant de voir ça sur France 2.
Cela dit, c'est du Roger Vaillant encore au Parti, cette analyse que certains du PC auraient aussi bien pu être des "curetons". Ça est aussi dans Drôle de jeu. Et Roger Vaillant, un drôle de coco ça c'est sûr ma bonne dame, vous reprendrez bien un peu de coco.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.