Muzika

bonjour. Je recherche une vielle chanson qui commence à peut près comme cela : En 93 à paris on sonne le canon d'alarme et pour en chasser l'ennemi le peuple entier se rue aux armes , …pourtant bravant la mort le chevalier proscrit pour lui dire au revoir est venu cette nuit et dans un baiser il lui dit après?????
et puis encore: pourquoi m'avoir trahis Suzon je ne peux te haïr quand même, tu vois malgré ta trahison c'est toujours toi seule que j'aime, je nargue le bourreau Sanson ça besogne est à moitié faite car mon amour pour toi Suzon m'a déjà fait perdre la tête etc

Merci d'avance.
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Bonsoir
La chanson que tu recherches date de 1910 et s'intitule "En quatre-vingt-treize"
Paroles : Ferdinand-Louis Benech
Musique : Léo Daniderff
Interprètes : Henriette Leblond en 1910
Bérard en 1912
Nory en 1913
Vignal en ???
Robert Jysor en 1924
Gerbel en 1928
Pierre Deldi en 1932
Grégoire en 1932
Lina Margy en 1967

Le texte est là :

[fr.lyrics.wikia.com]

Bonjour chaparral83 et merci pour ta recherche et cette communication si précise que j'en reste baba. Dis le 83 de ton identification c'est ton âge? car pour connaître ces vielles chansons il faut avoir comme moi 85 années, cette chanson me reviens souvent, c'est ma maman qui me la chantait assis sur ses genoux et il m'a fallut du temps pour savoir qui était Samson...Si j'osais (mais j'ose) je te soumettrais bien encore deux chansons que me chantait ma maman: " La natte de chine" Un chinois natif de Nanquin, prit pour épouse un beau matin une jeune fille de son pays qu'on appelait mad'moiselle Bengali. dans le dos il avait une natte dont la petite s'effarouchait, le premier soir elle devint écarlate, elle n'osait même pas y toucher. tu as compris il s'agit d'une chanson un peu coquine
et puis ausssi :… ma petite Bengali lui disait son p'tit mari je vois bien que ce petit truc
t'amuse mais mon chou je crois bien t'en abuse… "
j'ai cherché sur wiki paroles sans succès; Si tu as une idée je suis preneur. Encore merci et @+

MDR

Chapparal est une gamine pour nous, Lebars
Mon mail est houba57 et j'aimerai n'avoir encore que 57 balais

Tu peux faire les demandes que tu veux, le site est fait pour ça.

Mais en principe on fait un nouveau message pour une nouvelle question.

(inutile de changer pour cette question, on est déjà en train de chercher)

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le bonheur c'est d'en donner



Modifié 2 fois. Dernière modification le 21/06/14 19:36

Eh oui ! Le "83" de mon pseudo, c'est le Var, le département où j'habite
Mais j'aime bien les chansons anciennes et je vais voir si j'arrive à trouver une trace de cette "chanson de la natte" !

93 à Paris !… Ma mère était cousette à Paris et, dans les ateliers où elle travaillait, c'était le genre de chansons "réalistes" qu'on chantait à une époque (1930) où il n'y avait ni radio ni baladeurs pour égayer les longues séances de travail.
Combien de fois l'ai-je entendu chanter par ma mère… Mais il y en avait d'autres du même acabit : "Une p'tite cigarette,
Une cibiche, ça n'engage à rien… " etc
ou bien
"Un jour une modiste
Qui avait bien mal aux dents,
S'en va vit' chez son dentiste
Pour se faire soigner viv'ment…" etc
Les autres paroles, j'avoue qu'avec le temps, elles ont fini par s'effacer de ma mémoire.

En tout cas, bravo et merci pour votre intérêt pour ces chansons perdues et pour vos sources documentaires assez bluffantes.

[lyrics.fandom.com] (partition et version Mayol)

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Fabriquer des souvenirs, ça sert à rien, mais ça tient chaud. (Aldebert)