Muzika

… c'est ce soir. Ça peut vous intéresser.
"Ma mort dans tous ses états"
de Roberto Garzelli

Ce soir sur ARTE à 23h20

Le Figaro " S'ouvre alors …un monde … fait de mille interrogations et de surprenantes découvertes…
"… ce documentaire drôlissime…
à la fois potache, cocasse, décalé mais aussi vraiment instructif."

Libération " …mourir, c'est quelque chose. Heureusement Roberto Garzelli a mené l'enquête
…tout filmé de cette course au logement dernier."

Pour dire: c'est vrai que le sujet est macabre, c'est le cas de le dire, mais… et puis j'aimerais avoir les commentaires de ceux qui auront vu - personnellement, je suis sortie…. perplexe, et puis… avec une folle envie de mordre ds la vie. Allez savoir pquoi. Put-être parce qu'il y avait un buffet?

Bref, passons.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Je n'avais pas oublié… j'ai même vérifié sur le programme… pour ne pas oublier. Y a du monde à la maison, mais comme ils seront en principe fatigués… j'en profiterai peut-être !



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Amigos sâo flores... Amigos sâo poemas...

Oui, c'est dommage, l'heure de diffusion. Parce qu'en +, c'est le genre de truc après lequel on a besoin de parler.

Mais avant, il y a 1900 de Bertucelli, alors évidemment .

Bonne soirée Odile, avec tes invités!



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Merci 2nyse de le rappeler C'est bien connu la mort est l'aiguillon de la vie, non ?



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*** Elle est retrouvée ***
Quoi ? - L'Eternité.
C'est la mer allée
Avec le soleil.

L'enquête a été bien menée ! et j'ai même appris quelques petites choses !

Pas de morbidité à mon avis, ou alors je n'y suis pas sensible, simplement des réponses à des questions très "basiques" et pratiques que l'on peut se poser.

Et j'ai trouvé excellente la réflexion d'une personne de l'association SPI : après notre décès "on a le choix entre des petits vers ou une bonne cuite".

Il a quand même oublié le don de son corps à la science, et là on entre vraiment dans le macabre qui peut repousser les âmes sensibles. Mais comme l'a dit justement une personne, pour ceux qui refusent le premier choix, leur dépouille reste avec les vivants, livrée aux mains des étudiants… ma foi, pourquoi pas !

Mais maintenant je et j'ai envie de



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Amigos sâo flores... Amigos sâo poemas...

heu… 1900, c'est Bertolucci - mais vous aviez corrigé de vous-même.
(tous ces Italiens en une seule soireée, io m'embrouiaziono!)

a demain, donc.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Je suis d'accord avec toi, Odile. Ça répond à ces questions sur le don d'organes, le don du coprs à la science que se posaient Baboune et d'autres, enfin, répond tout en semant d'autres angoisses… être découpé en tronçon plutôt que de se décomposer ronger par les vers ou d'être réduit en cendres en 2h…
J'aime bien le style narratif qui induit au départ une réflexion subjective, personnelle, mais très vite, peut-être parce que le réal. pose les question qu'il se pose lui-même à ceux qu'il interroge, ou peut-être tout simplement par l'universalité du sujet - si nous cantonnons l'univers à notre petite société occidentale, évidemmment - et bien très vite c'est justement les mêmes questions qu'on s'est posées, auxquelles on nous apporte des réponses pratiques, c'est vrai qu'on apprend plein de choses, mais aussi bien, ces réponses n'arrivent pas à combler la quête existencielle - la nôtre comme celle du réal. qui l'avoue en conclusion.
Aussi, je trouve que la vie donne de drôles de saynettes, en vérité! la scène à laquelle tu fais allusion, chez les "crématistes", où ils répondent en écho, on dirait qu'elle a été mise en scène tellement c'est un numéro! assez hilarant, façon Adam's family.
Et puis, c'est fou comme tous ces gens qui travaillent de près avec la mort ont des visions fantasmatiques, autant que chacun d'entre nous! (à part les médecins, comme toujours très "self-control")
Le type le plus humain, le plus touchant, est cet homme qui travaille au crématorium du Père-Lachaise. Il m'a fait penser à cette chanson de Brassens Et plus je lâche la bride à mon émoi, et plus les copains s'amusent de moi, ils me disent: mon vieux par moment, t'as une figure d'enterrement, je suis un pauvre fossoyeur!
Ouf!
Bonne après-midi!



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Bonjour 2nyse

Au début de ce reportage, assez inhabituel par le thème et la façon de le conduire, j'ai été assez surprise par la "tonalité" des personnes interviewées : rien que des gens qui passent leur vie auprès des personnes décédées puisque ce sont leurs métiers.

Et derrière leurs propos, j'ai retrouvé plein de lieux communs et de fausses vérités ou de fantasmes… il a quand même fallu attendre que des individus mieux informés débroussaillent un peu tout ça.

Je ne regrette pas d'avoir un peu veillé… et maintenant … vive la vie



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Amigos sâo flores... Amigos sâo poemas...

La 1ère femme, la "commerciale" du caveau, est grâtinée, elle aussi, avec son image "c'est comme si vous achetez une voiture, vous choisissez une grosse cylindrée…"
Ça me fait penser qu'il y a une dimension de représentation sociale, finalement. Comme si certains d'entre nous se rassuraient de leur angoisse de mourir à l'idée qu'ils perduraient dant un monument. Pareil, la concession à perpétuité, ça inscrit qu'on a eu une famille, des enfants, tout comme il faut - j'observe ça, et puis le pire c'est que j'ai tilté qd le responsable de je-ne-sais-plus-quel cimetière (ça doit être le Père-Lachaise) dit que si on a une tombe qui a une valeur "artistique", la Ville l'entretiendra : dans mon cœur d'architete a surgi très précisément un 'ptit monument inspiré d'Aldo Rossi et de son cimetière de Modène

Pourtant, malgré tout, je sais comme c'est difficile, qd un proche meurt, de devoir faire face à toutes ces décisions. C'est pquoi c'est pas si "absurde" , pas du tout même, pour aider ceux qui restent, d'envisager la procédure des obsèques ds tous ces points, jusqu'aux détails, pour qu'ils n'aient plus qu'à suivre la procédure.

Ça me rappelle un autre documentaire, d'une femme, mais son nom m'échappe - je vais essayer de la retrouver sur Imdb. Elle avait fait un docu. sur son père, quand celui-ci l'avait convoquée pour lui parler de ses funérailles (à lui). Comme elle appréhendait, elle avait décidé de filmer. C'était très touchant, au final. Je vais essayer de retrouver le titre et le nom de l'auteur, au cas où ce serait diffusé, je l'avais vu dans le cadre du festival de court-métrages de Paris.



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

(après 1000 et 1 recherches…)
Le Voyage express au Mans de Annette Dutertre.

Si jamais c'est diffusé, faut le voir!



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

moi j'suis triste parce que je peux plus voir Six Feet Under



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El hambre viene,
El hombre se va...

Ah oui ! j'ai appris que la perpétuité ne l'était pas que la crémation était une sublimation que ce sont les vers de mouche qui nous grignotent et non pas des vers de terre…

Il est quand même à noter que la couche sociale représentée dans ce monde un peu particulier, n'émane pas de HEC. C'est pourquoi seul le corps médical tenait des propos cohérents et scientifiquement vérifiables. Les autres parlaient de ce qu'ils avaient vu, ressenti (voire imaginé ?), avec tout l'aspect populaire et traditionnel de leurs connaissances.

Mais ce que je trouve vraiment dommage c'est que les tranches de population plus éduquée, hormis le corps médical encore une fois, fuient comme la peste tout ce qui touche à la mort. Ce sont les plus humbles qui ont le plus de courage en l'occurence ! Merci à eux !



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Amigos sâo flores... Amigos sâo poemas...

"tous les jours vont à la mort, le dernier y arrive" (Montaigne)

Pour ma part je n'ai pas trouvé ce documentaire macabre, il répond aux questions pratiques qu'on peut se poser. Le vivant doit penser sa mort ne serait-ce que pour ses proches au moins. Et ce documentaire aura eu le mérite d'y répondre et on y apprend plusieurs autres choses. Bref je vais songer à préparer ma mort (euh facon de parler )

A part cela comment allez vous bon vivant



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*** Elle est retrouvée ***
Quoi ? - L'Eternité.
C'est la mer allée
Avec le soleil.

5après des heures de rameur, + musclée que jamais je suis à vous}

Alors vers 19h, j'allais dire :

Je ne sais pas s'ils ont plus de courage… ou pas d'autres solutions… la crise de l'emploi, tout ça, mais en fin de compte, notre société reproduit à l'égard de la mort un euphémisme de la situat° traditionnelle des Parias en Inde (quelque part, je veux dire )

Il paraîtrait que la 2 va diffuser 6feet under, kérido, en 2004, qu'ils disent.

Et maintenant, j'ajoute: Loxias, non pas que je vais me lancer ds l'organisat° de mes obsèques & co, mais la vérité! il faudra y songer assez tôt pour que mes proches n'aient pas à tout organiser ds un moment difficile… assez tôt… kesàdire?



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Bah assez tôt c'est maintenant chère 2nyse car il est toujours l'heure pour nous autres mortels



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*** Elle est retrouvée ***
Quoi ? - L'Eternité.
C'est la mer allée
Avec le soleil.

… sur ces bonnes paroles, mon cher LOXIAS, je te souhaite une douce et excellente nuit faite de beaux rêves

à demain, tout le monde!



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

Sous une avalanche de mail, je te souhaite une bonne nuit: sur le dos, le côté ? Allez a domani tout le monde



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*** Elle est retrouvée ***
Quoi ? - L'Eternité.
C'est la mer allée
Avec le soleil.

coucou!



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C'est en écrivant qu'on devient écriveron,
Et c'est en jouant au bûcheron que Léonard de Vinci.

coucou



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le bonheur c'est d'en donner