Sous toute réserve (pour le découpage
) mais j'ai essayé de corriger les fôôtes
1er couplet :
La place d’un père, la place d’une mère dans une famille, la place de deux être chers censés s’aimer pour la vie unis, par leurs volontés par des sentiments en commun, simplement réunis et on craint rien enfin, c’est ce qu’on dit, mais pas toujours c’qu’on voit
J’ai demandé pourquoi, on m’a répondu c’est la vie, puis-je donner mon avis, faut qu’j’reste en dehors de ça
Quand l’amour s’transforme en haine et qu’on s’déchire devant moi, voilà ce qu’il en est, et c’n’est pas autrement qu’on prend tant d’engouement pour l’histoire de mes tourments
Le temps évolue, j’ai fait face aux soucis, j’ai grandi, maman est là mais papa est parti et là j’ai compris qu’t’as préféré tourner la page, j’étais pas du voyage
Dire qu’j’te croyais au paradis, vu qu’l’alcool fait des ravages, tu t’es pas rattrapé et sans même te retourner, j’t’ai vu t’éloigner du rivage, est-ce dû à ta vie merdique ? J’en sais trop rien, devenu alcoolique et tu fais du mal aux tiens
Combien de fois tu l’a vexée ?
Combien de fois t’étais pas là ?
Combien de bleus sur ses bras ?
Car quand on aime on ne compte pas
Refrain :
Tu es parti, sans même que l’on ne puisse te dire au revoir
Au fond d’mon cœur, tout est devenu si noir
Tu es parti, sans même que l’on ne puisse te dire au revoir
Au fond d’mon cœur, il reste encore un espoir
2ème couplet :
Oh papa, si j’avais pu, j’t’aurais dis non ne pars pas, j’étais trop p’tit pour comprendre J’ai dû grandir sans toi, même si Mama s’est bien occupée de moi, il me manquait un repère, un père derrière moi
J’fermais les yeux et j’imaginais ton visage, j’savais juste que t’étais noir vu mon métissage, à l’école on m’demandait ton papa il fait quoi ?
Les autres se marraient quand moi je n’répondais pas
Le jour ou j’suis tombé sur cette photo de mariage, le puzzle de ma vie a commencé son assemblage, j’ai enfin su à quoi tu ressemblais
Impossible d’expliquer l’effet k’ça m’a fait
1990 le téléphone sonne, après l’orage le soleil rayonne, Mama m’appelle et m’dit quelqu’un veut t’parler, j’ai juste entendu « allo » j’ai compris qui c’était
Quelques semaines plus tard te voilà devant moi, et c’est la réalité, oh c’est l’rêve que j’fais à chaque fois
T’es resté huit ans puis t’es reparti, t’es retourné au pays
Au refrain
3 ème couplet :
A la suite de ton départ, j’ai dû me faire une raison quand elle a dit au grand frère maintenant t’es l’homme de la maison
Elle si fière, devenu la cause de mes souffrances, devant nous, l’air de rien mais qui pleurait en silence
J’aimerais plus t’en vouloir, à l’inverse de mon cœur, une rancœur intérieure d’avoir juste un géniteur
A toute personne délaissé, sans présence de daron, divorcé ou décédé, qu’ont juste hérité d’un nom, oh papa, j’ai mis quatre ans pour effacer ma rancune
Un père on n’en a qu’un, une mère on n’en a qu’une, j’ai rangé ma fierté j’t’ai rejoins là-bas
Des larmes ont coulé quand tu m’a pris dans tes bras, moi j’t’ai retrouvé, d’autres n’ont pas eu cette chance, j’leur dédie ce morceau et partage leur souffrance, ceux victimes d’un abandon, d’un divorce ou d’un décès ceux qui vivent avec le cœur brisé.
Au refrain :
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On n'a jamais vu le silence remplacer une absence...