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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : cigogne
Date : jeudi 18 août 2016, 10:47:10

Merci Houba, mais je ne vais pas mettre un tel prix pour un bouquin dont si ça se trouve, l'histoire ne me plaira plus

Il est consultable sur place dans une des bibliothèques spécialisées de Paris, mais je n'ai pas trouvé laquelle, et il ne m'est de toutes façons pas possible de prendre des jours pour monter à Paris

Mais je pense qu'il doit bien encore être chez quelqu'un, il me faut juste trouver qui, pour qu'il me fasse un résumé et me scanne quelques pages

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : Christian ( houba )
Date : lundi 29 août 2016, 21:54:30

de retour d' Elseneur où, lors de la visite de son château , nous avons eu en divers endroits de courtes scènes d' Hamlet, j'ai ressorti l'intégrale de William et je me suis replongé dans les intrigues de la cour du Danemark



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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : cigogne
Date : mardi 30 août 2016, 08:51:05

En plein été? J'aurais pensé que c'était des lectures d'au coin du feu Tu te mets dans ton transat?

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : Christian ( houba )
Date : mardi 30 août 2016, 09:01:25

en général je lis au lit

mais là je voulais me replonger dedans dès mon retour

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : cigogne
Date : mardi 30 août 2016, 09:03:02

Dès ton retour... Monsieur est encore en vadrouille?

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : Christian ( houba )
Date : mardi 30 août 2016, 12:56:00

nan j'ai attaqué après mon retour de Copenhague



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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : Christian ( houba )
Date : mardi 10 janvier 2017, 21:04:13

Quelqu'une aurait lu des Jim Fergus ?

Genre Mille femmes blanches ou sa suite la Vengeance des Mères.

Ça me fait aller plus tôt au dodo à raison de 40 ou 50 pages par jour



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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : cigogne
Date : mardi 10 janvier 2017, 21:11:16

C'est soporifique?

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : chaparral83
Date : mardi 10 janvier 2017, 23:30:31

Pourtant ça semble intéressant...

"Mille femmes blanches"
En 1874, à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l'intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des " Mille femmes " viennent en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les Etats-Unis d'Amérique... Parvenue dans les contrées reculées du Nebraska, l'une d'entre elles, May Dodd, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et les rites inconnus des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l'alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de son peuple d'adoption...

La fille sauvage
En 1932, au coeur de la Sierra Madre, un chasseur de pumas fait une bien étrange capture : celle de la Nina Bronca, jeune femme appartenant à l'une des dernières tribus apaches vivant à l'état "sauvage" dans les montagnes. Devenue bête de foire, ligotée sur le sol glacial d'une cellule, elle ne souhaite plus qu'une seule chose : se laisser mourir. C'est compter sans l'aide miraculeuse de Ned Giles, apprenti photographe qui, accompagné d'une anthropologue, d'un étudiant et de deux éclaireurs indiens, va braver la mort et les dangers afin de ramener l'envoûtante sauvageonne parmi les siens.

"Marie Blanche"
Une inoubliable fresque familiale à travers un siècle et trois continents : l'auteur de Mille femmes blanches confirme son exceptionnel talent de conteur et nous offre un chef-d'œuvre. 1995, région des Grands Lacs. Jim Fergus rend visite à sa grand-mère, Renée, 96 ans. Fille d'aristocrates français désargentés, mariée trois fois, celle-ci a connu un destin hors du commun, qui l'a menée de son petit village natal de la région de Senlis jusqu'aux États-Unis, en passant par les sables de l'Égypte.
D'un caractère entier, froide et tyrannique, elle a brisé la vie de sa famille, en particulier celle de sa propre fille, Marie-Blanche, la mère de Jim. Pour essayer de la comprendre, et peut-être de lui pardonner, celui-ci va tenter de retracer son parcours. En parallèle, à travers le journal intime de sa mère, l'écrivain nous fait entrer dans l'intimité de celle-ci. Internée en 1966 dans un asile de Lausanne, Marie-Blanche se souvient de sa vie, commencée comme un conte de fées mais qui prit peu à peu des allures de tragédie.
Jim Fergus s'inspire ici de son histoire personnelle pour nous offrir une saga familiale bouleversante. À la façon de Dalva, de Jim Harrison, il inscrit l'intime dans l'Histoire et nous présente d'inoubliables portraits de femmes dans la tourmente. On retrouve surtout dans cette fresque qui s'étend sur un siècle et trois continents toute la puissance romanesque de l'auteur de Mille femmes blanches associée à une force d'émotion rare.
Marie-Blanche est le troisième roman de Jim Fergus, après Mille femmes blanches (le cherche midi, 2000), vendu à près de 400 000 exemplaires en France, et La Fille sauvage (le cherche midi, 2004). Jim Fergus a consacré cinq années à l'écriture de ce roman, qui est publié en France en exclusivité mondiale.

"Mon Amérique"
Après Espaces Sauvages, Jim Fergus nous raconte ici six années de "pérégrinations par monts et par vaux' à travers les États-Unis. De la beauté grandiose et désolée des paysages de l'Utah aux terres sauvages du Nebraska, en passant par quelques savoureux récits de pêche à la mouche dans les rivières de l'Ouest, il évoque une Amérique à la fois mythique et terriblement concrète. Célébrant ainsi la nature, la pêche, la chasse, les animaux sauvages ou domestiques, l'amitié, la culture indienne, ou encore la cuisine, il nous livre les secrets d'un véritable art de vivre, qu'il partage volontiers avec des écrivains comme Jim Harrison ou Thomas McGuane. On retrouve dans ces histoires itinérantes, classées par saisons, tout le talent de conteur et toute l'humanité de l'auteur de "Mille Femmes Blanches" et de "Marie Blanche"

"La Vengeance des mères"
1875. Dans le but de favoriser l'intégration, un chef cheyenne, Little Wolf, propose au président Grant d'échanger mille chevaux contre mille femmes blanches pour les marier à ses guerriers. Grant accepte et envoie dans les contrées reculées du Nebraska les premières femmes, pour la plupart " recrutées " de force dans les pénitenciers et les asiles du pays. En dépit de tous les traités, la tribu de Little Wolf ne tarde pas à être exterminée par l'armée américaine, et quelques femmes blanches seulement échappent à ce massacre.

Parmi elles, deux sœurs, Margaret et Susan Kelly, qui, traumatisées par la perte de leurs enfants et par le comportement sanguinaire de l'armée, refusent de rejoindre la " civilisation ". Après avoir trouvé refuge dans la tribu de Sitting Bull, elles vont prendre le parti du peuple indien et se lancer, avec quelques prisonnières des Sioux, dans une lutte désespérée pour leur survie.

Avec cette aventure passionnante d'un petit groupe de femmes prises au milieu des guerres indiennes, Jim Fergus nous donne enfin la suite de "Mille femmes blanches". Le miracle se produit à nouveau et cette épopée fabuleusement romanesque, véritable chant d'amour à la culture indienne et à la féminité, procure un incommensurable plaisir de lecture.

Je ne suis pas très fan de littérature de genre "western", mais ça me semblait intéressant...

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : Christian ( houba )
Date : mercredi 11 janvier 2017, 08:59:22

Pas soporifique au contraire, au lieu de rester sur le PC je vais au dodo pour lire. Et j'ai plutôt du mal à m' arrêter et éteindre.



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Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/01/17 09:47

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : LOXIAS
Date : vendredi 13 janvier 2017, 01:29:15

Je lis "Essais" de Philippe Muray aux éditions les Belles Lettres. [www.amazon.fr] et aussi rêve de Printemps de Su Tung Po chez Moundarren.
Su Tung Po est un poète, calligraphe, peintre, mandarin du 11ème siècle après J. C.
Après je lirais vraisemblablement " la supplication " Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse de la Biélorusse Svetlana Alexievitch qui eut le prix Nobel 2015

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : cigogne
Date : vendredi 13 janvier 2017, 09:03:35

Je ne sais toujours pas ce que tu deviens, mais une chose est sûre: tu lis toujours, et tu ne t'es pas mis à la collection Harlequin

Contente de te relire

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : chaparral83
Date : vendredi 13 janvier 2017, 11:59:39

Pour l'instant je relis des Isaac Bashevis Singer, des Exbrayat... pour en faire des e-books.

Et "pour le plaisir", je lis le tome 3 de "L' amie prodigieuse" (Celle qui fuit et celle qui reste) d'Elena Ferrante. J'avais bien aimé les deux premiers...

Et puis quand je sais que je ne vais pas avoir trop de temps, j'ai toujours sur mon téléphone des "Dictionnaires amoureux de..." Ce sont de courts articles qui se lisent vite. Là c'est "San-Antonio" et "le théâtre" que j'ai entrepris...

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : LOXIAS
Date : dimanche 15 janvier 2017, 00:29:06

Merci Cigogne c'est gentil. Oui je lis toujours et de plus en plus. La collection harlequin, ça n'est pas encore pour de suite
Chapparal les dictionnaires amoureux j'aime bien celui que je lis sur la Loire et on m'en a offert un sur Shakespeare. J'aime bien l'idée. Sinon comment vas-tu Cat ?

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Modifié 2 fois. Dernière modification le 15/01/17 00:33

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : chaparral83
Date : dimanche 15 janvier 2017, 10:28:05

Bonjour, Lox

Ça va !
Je me suis mise au théâtre, depuis déjà quelques années...
Un atelier où on est une vingtaine. Ça m'oblige à continuer à faire fonctionner mon cerveau pour mémoriser... et c'est amusant ! On bosse chaque année sur une pièce différente.
L'an dernier c'était Hamlet, cette année c'est un Feydeau : "Feu la mère de madame". La pièce sur laquelle j'ai préféré travailler, c'était un monologue de Fabrice Melquiot : "L'inattendu".

Et je continue à aller voir des spectacles de chansons un peu partout et à en faire des comptes-rendus sur NosEnchanteurs... Sauf que la voiture se fait vieille (pas moi, hein !) et que je me suis calmée sur la longueur des virées. La dernière c'était Annecy en novembre... Depuis, je me limite à Aix en Provence. Il y aura Avignon en juillet et Barjac fin juillet-début août...

Et toi ? En plus de la lecture ? Comment va ton fils ? Que devient-il ?

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : LOXIAS
Date : lundi 16 janvier 2017, 01:55:09

C'est bien le théâtre. Je ne connais pas Fabrice Melquiot mais le nom me dit quelque chose. Content de lire que tu profites Cat
Sinon de mon côté je vais bien. Je tente de faire quelques sorties. Je suis retourné voir Rome à l'été 2015 certes un séjour court par rapport à autrefois et cette année je devais visiter Amsterdam mais ça n'a pu se faire.
L'un de mes fils est devenu ingénieur en informatique et travaille quant à l'autre il étudie pour devenir aussi ingénieur en informatique. On se retrouve souvent en famille chez mes parents


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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : chaparral83
Date : lundi 16 janvier 2017, 02:09:31

Fabrice Melquiot, c'est un jeune auteur-acteur-metteur en scène Savoyard.
Il y a trois ans, l'année ou on a travaillé sur sa pièce, il y en avait quatre de lui qui étaient jouées au festival off d'Avignon...

Contente de voir que tes fils ont trouvé des études qui leur plaisent.
On a toujours besoin d'un informaticien à portée de la main !

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : LOXIAS
Date : lundi 16 janvier 2017, 02:17:39

Côté lecture j'ai pris aussi Histoire de la pensée chinoise de Anne Cheng. C'est intéressant et me permet de mieux comprendre la culture chinoise. Avec le poète Su Tung Po et ce livre d'Anne Cheng je fais une immersion dans la culture du pays du Milieu

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : LOXIAS
Date : lundi 16 janvier 2017, 02:20:19

Merci Cat

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Re: Il était une fois un livre
Envoyé par : chaparral83
Date : lundi 16 janvier 2017, 03:33:47

Si tu es en Extrême-Orient... en poussant jusqu'au japon, un livre que j'avais trouvé très intéressant, c'est "Le jeu de l'indulgence" de Takeo Doi
[www.asiatheque.com]
L'auteur (il est psychiatre) centre sa réflexion sur un mot qui n'existe qu'en japonais : la notion "d'amaé" : interdépendance et solidarité active
C'est intraduisible sauf à utiliser des périphrases... Alors, pourquoi les Japonais sont-ils les seuls à avoir eu besoin d'un mot pour parler de ce sentiment ?
Pas facile à lire, mais intéressant...

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